Programmation
Samedi 7 juin
En savoir plus sur No Money kids
Du rock lo-fi au blues électronique, No Money Kids défie les normes et nous embarque pour un road-trip nocturne électrique sur une route déserte. le duo fonce à vive allure sur une route oubliée où les néons clignotants se fondent dans le rétro, mortel, miteux, l’horizon en cinémascope.
Inspirés par The Kills, The Black Keys, Beck, Sparklehorse, mais
aussi par les maîtres du blues comme Junior Kimbrough et
Robert Johnson, le duo parisien mélange riffs hargneux et beats
électroniques pour un rock indé aussi rugueux qu’envoûtant.
Entre ballades vertigineuses et hymnes garage, No Money Kids
sculpte un univers sonore brut et addictif, où le passé et
le présent se percutent dans une danse frénétique.
Leur son audacieux, enregistré de manière DIY, attire l’attention
bien au-delà des frontières musicales. Leurs titres « Take Me to
Your Home » ou « I’M ROLLIN’ et BROTHER » de l’album « Factory » marquent un véritable essor.
Cumulant des millions de streams et leur ouvrant les portes
des festivals majeurs comme Rock en Seine et Sziget. Leurs
compositions se retrouvent dans des séries TV et des films
internationaux, renforçant leur notoriété.
Aujourd’hui, No Money Kids prépare l’album Fireworks, qui sortira en janvier 2025
enregistré en partie aux États-Unis, promettant de repousser
les limites de leur univers sonore.
En savoir plus sur The Hyènes
Cette année le festival sera résolument rock et il nous reste encore quelque groupe a vous annoncer.
On croise fréquemment sur la route du rock des personnages hors normes, ils marchent à contresens et suivent leur propre chemin en regardant le monde comme une comédie ridicule. Il y a ceux qui finissent par s’arrêter un jour quelque part, et d’autres qui continuent d’avancer comme des gamins insouciants que rien n’effraie. Les cinq musiciens de The Hyènes sont de ceux-là.
Réunis par Albert Dupontel en 2006 pour comploter la bande originale de son film Enfermés Dehors, Vincent Bosler (guitare), Ce qui ne devait être qu’une rencontre éphémère se révèle être en fait le début d’une aventure qui se joue encore aujourd’hui.
En 2009 sort un premier album au titre éponyme, The Hyènes, suivi d’une tournée, Le
Bordel Tour, une sorte de magic bus improbable aux allures d’épopée héroïque qui se prolongera en festivals. Quelques collaborations musicales inattendues avec Cali, Olivia Ruiz ou Mathias Malzieu, des projets insolites avec les frères Cantona ou les Têtes Raides.
En 2012 paraît un deuxième opus intitulé Peace And Loud, co-réalisé par Ted Niceley (Fugazi, Girls against boys, Noir Désir). C’est à nouveau les concerts ; le groupe et le public se retrouvent.
Enrichis de cette expérience, l’envie d’un troisième album est là mais il faut parfois prendre de la distance pour mieux se retrouver. Quelques escapades pour les uns et les autres dans des univers différents, et le moment de réenfiler les gants de boxe arrive.
Le troisième album, Verdure, dévoile un rock authentique mais s’ouvre aussi vers d’autres horizons.
Arrive le confinement, mais comme The Hyènes est un groupe qui ne s’arrête jamais les cinq musiciens en profitent pour travailler une version acoustique de leur répertoire ; ils revisitent ainsi « Verdure » et quelques morceaux de leurs albums précédents.
The Hyènes Unplugged au Krakatoa est sorti le 18 novembre 2022.
En savoir plus sur Soviet Suprem
Ils ont un message pour vous :
Chers camarades,
Nous mettons en place ce système rétro-futuriste de communication, appelé Infolettre, afin de transmettre régulièrement, à chacun d’entre vous, des nouvelles du front, théâtre de la révolution du dancefloor.
Le grand soir est proche.
Après plus de 6 ans d’absence discographique, le Soviet sort un nouvel opus et s’apprête à écrire une nouvelle page de l’Histoire avec un grand H.
Grand bond en avant, nous avons pris le train de l’orient extrême et débarqué en Chine à la conquête de l’Empire du Milieu. Nouvelle source d’inspiration, un air de jouvence va se répandre sur la planète comme les ondes d’un cygne, glissant sur le fleuve bleu à la rosée d’un matin de printemps.
En bons stakhanovistes, nous avons turbiné, usiné, creusé pour extraire de nos mines 11 perles de jade qui constituent notre nouveau manifeste : « MADE IN CHINA ». L’ALBUM EST DISPONIBLE PARTOUT. Le grand disque rose remplaçant désormais le petit livre rouge de Mao, chaque camarade devra en être pourvu. Tout déserteur sera poursuivi et envoyé au chant dans un camp de rééducation musicale.
Entre culture Wok, hip-hop en ping-pong et course au désarmement, nous invitons l’humanité à nous rejoindre sous la bannière « faucillée » du Soviet Suprem pour que les lendemains chantent et dansent à nouveau.
J’en appelle donc à chacun d’entre-vous pour que le samedi 6 juin, à Saint Martin de Valgalgues, nous nous emparions du pouvoir de l’industrie musicale une bonne foi pour toutes et marchions ensemble sur L’Élysée pour bouter le tsar Emmanuel Micron hors du Francistan.
La république: c’est nous !
Vive la Révolution du Dancefloor
Vive le Soviet Suprem
En savoir plus sur Prade
PRADE « JULIAN PRADEL » a dévoilé son univers au grand public en 2021 et, depuis, il s’attache à développer et faire grandir son projet.
Depuis il livre la douceur d’une pop française puisée chez EDDY DE PRETTO teinté d’un rap mélodique introspectif inspiré de GEORGIO, se dévoilant sous les larmes qui le poussent à se dépasser. Larmes qu’il porte lors de ses représentations. Chaque musique, chaque texte en est un fragment avec lequel il compte bien fabriquer ses futurs sourires.
En MAI 2024 il a présenté son premier EP « OR BLEU »
Il a pu faire différentes premières parties « GRAND CORPS MALADE / MC SOLAAR / SOFIANE PAMART »
Il a également joué sur la scène du BATACLAN.
PRADE sur scène comme en studio c’est une invitation au lâcher prise, accepter nos émotions, pour sculpter notre véritable reflet, qui finira par éblouir nos ombres.
Il a un objectif en tête : puiser dans ces gouttes salées pour retrouver de l’envie dans les sourires et faire passer un message « Les émotions sont des armes, qui peuvent se retourner contre nous lorsqu’on les garde »
En savoir plus sur Genre Genre
Originaires de Montpellier, Eli et Kim sont des ami•es de longue date, qui donnent
la sensation d’être les jambes d’un même pantalon. Leur ressemblance physique et
leur connexion sur scène troublent.
Rassemblé•es par la perte d’une amie commune, Eli et Kim trouvent dans la musique
un moyen de se parler et de se confier. Iels sont le GENRE et le GENRE d’une identité
commune aux multiples facettes : introspectives, touchantes et surprenamment
simples.
Lors de ses concerts, GENRE GENRE nous donne envie de se déposer et de laisser
tomber le masque un instant pour accueillir pleinement le moment : entre sonorités
éthérée, textes profonds et interactions surprenantes, Eli & Kim nous transportent
à travers les émotions. Leur musique franco-anglaise est portée par leur guitare folk
à effets, leur voix parlées ou réverbérées et leurs instruments (violoncelle, tom basse,
piano, synthés). Intimes et poétiques, iels trouvent leurs influences dans des groupes
tels que Daughter, The XX et Mansfield TYA.
On aurait envie de percer leur mystère, tout en le gardant bien protégé dans un
écrin de douceur et de bienveillance, miroir de ce que l’on reçoit de leur performance
live. Un câlin à débusquer de sa poche en toute circonstance.💥💥
Tremplin 1, Lycée jacques prévert
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Dimanche 8 juin
En savoir plus sur La Caravane Passe
Avant de mettre en chantier leur nouvel album studio, La Caravane Passe a tourné plusieurs années ; plusieurs années pendant lesquelles le groupe s’est beaucoup inspiré de ce qu’il a entendu lors de nouvelles escales nomadic – Turquie, Liban, Corée, Nouvelle-Calédonie, Japon, Egypte… chinant de la musique, des instruments à cordes pour Toma (saz, baglamas, tzouras…), des conques dans l’Océan Pacifique pour Llugs, des flûtes traditionnelles pour Zinzin…
Une fois de plus, s’emmêlent les frontières, les langues, les formes, les rythmes les univers . Mais on reconnait bien l’art mélodique de Toma Feterman, ses compositions à l’accent parigot de la Mitteleuropa, nourri de hip-hop et parlant couramment le serbo-croate.
Justement, dans une de ses nouvelles chansons, il se dit « yougostalgique », c’est-à-dire fasciné par un pays fantasmatique dont les peuples continuent de pratiquer – dans les mariages, les enterrements et les baptêmes – DES MUSIQUES TRADITIONNELLES DONT LE NATUREL ET L’ÉLAN MANQUENT A LA FRANCE.
Pour Toma la musique populaire doit créer du lien. Durant les concerts de La Caravane Passe, nous disons qu’avec nous, les gens peuvent devenir gitans au moins un jour, un soir, un instant dans leur vie.
En savoir plus sur Morgane Ji
En savoir plus sur Vanupié
Après le succès de son deuxième Album « GOLD » sorti en Mars 2018, et grâce à son tube planétaire ROCKADOWN, VANUPIÉ est aujourd’hui un artiste que l’on ne présente plus. Baroudeur éclectique à la voix extraterrestre, son énergie résolument positive a su conquérir un public de plus en plus large au fil des concerts et de ses cartons sur les réseaux. Avec plus de 90 Millions de vues sur YOUTUBE pour sa vidéo « ROCKADOWN SUBWAY SESSION », VANUPIÉ est aujourd’hui un artiste incontournable en France, et de plus en plus à l’étranger.
En MAI 2023, VANUPIÉ sort sur son 3ème album « DREAMTIME ». Avec le soutien de l’éditeur COME ON MUSIC l’artiste nous offre 10 nouvelles chansons riches en influences comme à son habitude, un univers oscillant entre la POP, la SOUL et bien-sûr, le REGGAE. Plusieurs featurings sont présents sur ce nouvel opus, dont le singjay Jamaïcain PANIC et la chanteuse MAILAN.
En savoir plus sur Julia Lumni
En dessinant ses chansons avant d’en écrire les paroles, Julia Lùmni chuchote, raconte, chante des textes auto-sarcastiques où les émotions humaines deviennent des artichauts effeuillés et les choix de vie des branches d’arbres déployées. Bref, une palette réunissant la couleur allégorique de Ben Mazué, la voix éraillée de Charlotte Cardin et la rythmique trap d’Yseult. Son premier EP « demi-teinte » est sorti au printemps 2024 pour nous inviter à imaginer la vie imparfaite et nuancée dont on rêve.
En savoir plus sur Paris-Brest
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